Maria d’Angola !
Biographie
des moments d’histoire
LE LIVRE

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Bienvenue sur le site officiel dédié à la vie et à l’oeuvre de Maria de Jesus Haller, née Nunes Da Silva, une figure emblématique de la lutte pour les Indépendances et la Justice sociale.
Maria de Jesus vit le jour en 1923 à Gabela en Angola, elle a transcendé les obstacles de son enfance pour devenir une Militante politique influente, une journaliste passionnée, et une femme Ambassadeur dévouée à son pays et aux peuples opprimés. Ce site vise à honorer sa mémoire et à faire connaître son incroyable parcours depuis ses études au Portugal jusqu’à son rôle crucial dans le MPLA/Mouvement Populaire de Libération de l’Angola, en passant par son Engagement sans faille en faveur des Droits des Femmes et des Enfants.
A travers des articles détaillés, des photos d’archives et des contributions littéraires, nous explorons la trajectoire de Maria d’Angola ! son impact sur la scène politique et culturelle, et son héritage qui continue d’inspirer les générations futures.

Gorée, Sénégal – Octobre 1957

découvre maria !
Maria de Jesus Haller
(1923-2006)

Fille de Camoenha, qui signifie Soleil ou Lumière, référence au titre du tome 1 « le dos de la lumière », une indigène angolaise de Gabela, la région réputée pour son café et de Paulo Nunes Da Silva, un colon portugais de Coimbra travaillant dans le commerce de l’agriculture du café.
Unissant deux mondes, son père Paulo, dans un geste peu commun pour l’époque, a choisi de reconnaître tous ses enfants suivant la tradition juive. Envoyée au Portugal à l’âge de trois ans pour y être élevée par ses tantes, Maria De Jesus retrouve sa mère l’âge de quinze ans après 12 ans de séparation, moment qui marque le début de son engagement dans l’activisme politique.
En 1952, elle rencontre à Luanda, Jean Rodolphe de Haller, homme d’affaires suisse qu’elle épousera en 1957. C’est en 1960, à travers un poste aux Nations Unies proposé à Jean Haller, que le couple part en mission à Léopoldville au Congo belge colonial. Elle y rencontre des compatriotes angolais, opposants à l’oppression portugaise vivant en exil, et à qui elle donne des cours de français. Après l’assasinat de Lumumba, les mouvements de libération prennent de l’ampleur et malgré un retour en Suisse, Maria Haller continue son militantisme pour le MPLA, qu’elle est invitée à représenter au Caire en 1971. Elle fait face au sexisme dans ce rôle, les autorités égyptiennes lui refusant l’accès aux stations de radio jusqu’à ce qu’elle et Agostinho Neto menacent de quitter le pays.
Après 15 ans de guerre, l’Angola obtient son indépendance le 11 novembre 1975 avec Agostinho Neto comme premier président. En 1978, Maria Haller devient la première femme noire ambassadeur d’Angola et est mandatée à Stockholm pour représenter son pays au royaume de Suède. Elle devient ensuite directrice du département Asie et Océanie du ministère angolais des Relations extérieures.
Elle est membre de l’Union des écrivains angolais et obtient un prix littéraire pour …, un compte pour enfant sur l’accaparement des terres, en parrallèle Maria Haller anime à la radio des émissions culturelle dans le but d’encourager le moral des soldats.
Maria Haller meurt le 18 octobre 2006 à Genève, en Suisse, des suites d’une longue maladie. Ses funérailles ont lieu en Angola.



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le livre
travaillé a 4 mains colinette haller
Synopsis
À l’heure noire où la belle Méditerranée se tâche du rouge des clandestins d’Afrique & d’ailleurs, et que, parallèlement, l’Accaparement des terres dévaste sauvagement notre planète, il devient vital de se rappeler pour quelle Indépendance les Militant/es se sont battus ? Libérer les peuples du statut révoltant d’ » indigène », pour redevenir un habitant de son pays, avoir une carte d’identité, et reconstruire une nation multiraciale … telle était la promesse contenue dans le drapeau d’une Angola libre, ce 11 novembre 1975 !
Une femme dont la Foi était en or raconte sa jeunesse coloniale dans les années 20. Un pan de l’Histoire du peuple angolais leur est restituée en guise de réparation. »Maria d’Angola » comme la baptisèrent ses Camarades de lutte, grâce à son passeport suisse par mariage, Maria Haller est allée là où le futur Président Agostinho Neto n’avait pas obtenu de visa d’entrée. Et, en 1978, pour la rectitude de son engagement et pour ses qualités d’oratrice charismatique, il lui a rendu hommage en la nommant la première femme ambassadeur de la République Populaire de l’Angola en Suède.
Qu’avons-nous en commun ? Nous sommes tous sortis du ventre de notre mère … mais qui se souvient de son dos ? Maria de Jesus est le fruit d’une mère noire, fière de sa culture, et d’un père portugais agriculteur. Déjà enfant, son cœur bondissait à chaque Injustice, et l’écho désarmant de son rire en cascade emporte sur son passage tous les thèmes brûlants de notre actualité … Suivez-la dans son combat vers la Lumière, son message vert est inscrit dans une trilogie, une sorte de vision en 3 D, qui nous parle de notre Humanité … à chérir !





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